Selon ConneriesQC, cette situation reflète un problème plus large: un climat de peur et de silence qui empêche les parents de parler ouvertement des lacunes du milieu éducatif.
Dans son récit, Bianca évoque le manque de soutien pour ses enfants, qui ont des besoins particuliers. L'école polyvalente de Saint-Thérèse n'aurait offert aucune aide adéquate, laissant ses enfants livrés à eux-mêmes.
Elle dépeint un contraste saisissant avec l'école Centenial, où les besoins de sa fille sont désormais pris en charge, preuve selon elle qu'un système mieux organisé est possible.
Le point de rupture est survenu lorsqu'elle a reçu une lettre du directeur général de la Commission scolaire, la menaçant de poursuites judiciaires si elle continuait à critiquer publiquement le système.
Comme le rapporte ConneriesQC, Bianca considère cette démarche comme une tentative de la réduire au silence, un exemple frappant de la culture d'intimidation qui, selon elle, règne dans les établissements scolaires.
Malgré ces pressions, elle persiste à défendre son droit de dénoncer des services inadéquats, tout en restant respectueuse des individus concernés.
Toujours selon ConneriesQC, elle s'attaque aussi à l'inefficacité du service des plaintes, un outil qu'elle estime inutile face aux enjeux réels vécus par les familles.
Voici les stories de Bianca, partagées par ConneriesQC:
Cette affaire met en lumière un problème bien plus vaste. Comme l'indique ConneriesQC, il ne s'agit pas seulement de Bianca, mais de tous les parents qui veulent améliorer l'éducation de leurs enfants sans craindre des représailles.
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