C'est au Cégep Lionel-Groulx qu'il a fait escale pour goûter ce classique québécois, livrant son avis sans détour.
Une première pour lui, puisqu'il n'avait jamais critiqué un plat provenant d'une cafétéria scolaire.
Dès les premières bouchées, un détail retient son attention: la fourchette en bois.
Bien qu'il comprenne l'effort écologique des institutions, il confie que cet ustensile altère le goût des aliments, ce qui rend son expérience un peu moins agréable.
Malgré ce bémol initial, son analyse se concentre rapidement sur la sauce, un ingrédient clé selon lui pour juger une bonne poutine.
Et à mesure qu'il déguste, son opinion prend une tournure surprenamment positive.
Il se montre également impressionné par le rapport qualité-prix.
À seulement cinq dollars, la portion est généreuse et idéale pour un étudiant.
Il avoue même qu'il aurait été un client régulier à ce prix s'il fréquentait encore un cégep.
Finalement, il accorde à cette poutine la note de 7,3 sur 10, une évaluation qu'il qualifie de très honorable pour un repas de cafétéria.
Voici sa vidéo:
En plaisantant, il évoque la possibilité que d'autres cégeps le sollicitent pour tester leurs poutines, laissant entendre que cette expérience pourrait bien devenir une habitude.
Affaire à suivre!