Espérant un voyage tranquille en classe économique premium, ils ont été surpris et dérangés de se retrouver à côté d'un chien de soutien émotionnel, qui s'est avéré un voisin incommodant, perturbant leur trajet de 13 heures.
Toutes les solutions pour changer de place étant peu satisfaisantes, ils ont d'abord choisi de rester, mais l'inconfort persistant les a forcés à accepter des sièges en classe économique.
Mécontents, ils ont réclamé une compensation à la compagnie aérienne, n'obtenant d'abord que deux chèques-cadeaux de 104 $ canadiens chacun. Après insistance, ils ont réussi à obtenir un remboursement de 2011 $ canadiens.
Pour Gill et Warren, il ne s'agissait pas juste d'argent. Ils pensent que les compagnies d'avion doivent dire plus clairement aux gens quand il y a des animaux sur le vol. Ils croient que les compagnies doivent être plus honnêtes et responsables.
De plus, le couple a généreusement donné l'argent qu'ils ont reçu à une organisation qui aide les personnes malvoyantes en leur donnant des chiens-guides, en Nouvelle-Zélande.
