« Il s'agit pour nous de déterminer quelles sont les limites, ainsi que pour lui de déterminer ses limites. [] Je ne veux pas que Harper ait l'impression qu'elle peut l'appeler n'importe comment. [] Il n'est pas son père. Point final. Si elle disait ça devant nous, nous dirions carrément: Dylan n'est pas ton père. Il ne sera jamais ton père. Tu n'as pas de père. Tu as un donateur. Au fur et à mesure que nous apprenons à le connaître, nous nous sentons tous plus à l'aise. Mais j'ai le sentiment qu'il va se sentir plus en droit, ce qui peut être problématique. Nous devons garder suffisamment de murs pour protéger nos filles et notre famille, mais pour faire en sorte qu'ils sont suffisamment perméables pour qu'il puisse entrer », s'est-elle confié au Wall Street Journal.