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Une femme découvre avec horreur la cause de ses troubles de mémoire

PUBLICATION
Gabriel Landry
23 septembre 2023  (3h48)
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Un évènement médical surprenant est récemment arrivé à une femme.

En effet, un long ver parasite a été extrait vivant du cerveau d'une patiente d'Australie.

Le tout est survenu lors d'une chirurgie. Avant cette opération, la femme australienne a expliqué qu'elle avait plusieurs symptômes comme des douleurs abdominales, des diarrhées et des sueurs nocturnes.

Les douleurs sont devenues si intenses que la femme est finalement allée à l'hôpital. Les docteurs n'ayant rien trouvé, elle a ensuite été renvoyée chez elle.

Un an plus tard, elle est revenu avec d'autres symptômes très graves. En effet, elle oubliait de plus en plus de choses tout en sombrant dans la dépression.

Un scanner a notamment révélé des changements dans le cerveau de la femme de 64 ans. Les médecins ont craint le pire et ont décidé de procéder à une biopsie du cerveau.

C'est lors de cette opération de routine que la troublante découverte a été faite.

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La chirurgienne se rappelle avoir anticipé un abcès ou une potentielle tumeur. Avec horreur, il a vite découvert une large de ver rond de 7,6 centimètres! Ces spécimens sont généralement retrouvés chez les pythons.

Elle explique ensuite:

« Je me suis juste demandé, "c'est quoi ça? Ça n'a aucun sens! C'est vivant et ça bouge!" Ça a continué à bouger avec beaucoup de vigueur! Je pensais que j'allais être malade. »

Après avoir demandé l'aide du spécialiste des maladies infectieuses Sanjaya Senanayake, le duo a théorisé que le parasite provenait d'autour de la maison de la femme.

En effet, cette espèce de ver n'infecte généralement pas les humains. La théorie la plus plausible est que la patiente a malheureusement mangé de la nourriture contaminée dans un endroit où les pythons tapis vivent.

Pour ceux qui seraient curieux concernant l'état de la patiente, ses symptômes se sont grandement améliorés. Les médecins gardent un oeil sur elle et elle doit prendre des médicaments antiparasitaires. La chirurgienne explique qu'elle était bien contente d'avoir trouvé la cause:

« Elle était tellement reconnaissante qu'on ait trouvé la cause des problèmes qui l'affligeaient depuis si longtemps . »

Source: Unilad

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