Ses propos, bien qu'honnêtes et directs, ont suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux.
Blanchette admet que, pour lui, la restauration n'était pas un choix dicté par une expertise culinaire ou une vocation spécifique.
Il explique plutôt que son intérêt pour la gestion d'entreprise l'a conduit à ouvrir des restaurants, un domaine qui ne nécessite pas nécessairement une formation spécialisée comme d'autres métiers.
Il évoque son propre parcours académique, qui a inclus des études en administration et en comptabilité, avant qu'il décide d'abandonner pour se lancer en affaires.
Selon lui, ce type de cheminement est fréquent dans des secteurs comme la restauration ou la construction, où les entrepreneurs peuvent réussir sans avoir une éducation formelle liée à leur domaine.
Cependant, il précise que son expérience ne reflète pas celle de tous.
Il reconnaît qu'il existe des chefs et restaurateurs passionnés et hautement qualifiés, mais insiste sur le fait que ce n'était pas son cas.
Ce témoignage met en lumière une réalité intéressante: la réussite en affaires peut reposer davantage sur la détermination et l'intérêt pour l'entrepreneuriat que sur des qualifications techniques ou académiques précises.
En conclusion, cette réflexion illustre que l'entrepreneuriat en restauration n'a pas besoin d'être parfait ou conforme à une idée préconçue.
Parfois, ce sont les parcours atypiques qui mènent à des succès inattendus.
Voici l'extrait de l'entrevue en question: