Il s'est présenté comme un entrepreneur à succès, mais un article du Journal de Montréal, relayé par MonFric, est venu jeter une ombre sur cette image.
Derrière ses airs de réussite, il ferait face à des dettes qui dépassent l'entendement.
D'après ce qu'on apprend, Bournival traîne une dette de plus de 1,4 million de dollars. Oui, vous avez bien lu. Parmi ce montant, on parle de 87 000 $ à Revenu Canada, 67 000 $ à Revenu Québec et un colossal 1,1 million de dollars à Desjardins.
Comme si ça ne suffisait pas, il doit aussi 10 000 $ à la Banque Nationale et 40 000 $ à American Express.
Et ce n'est pas tout. Sa maison, située dans le secteur chic de Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge, serait sur le point d'être mise aux enchères le 27 novembre prochain à cause d'une dette impayée de 20 000 $ envers la Ville.
MonFric ajoute que Bournival aurait bâti son « empire » en vendant des thermopompes de porte en porte. Une activité qui, visiblement, n'a pas suffi à éviter les ennuis.
Pour en rajouter, deux de ses entreprises auraient déposé des propositions de faillite en août dernier, selon le Journal de Montréal.
Et malgré les nombreuses tentatives des journalistes pour obtenir sa version des faits, Bournival est resté silencieux.
Ce contraste entre l'image qu'il projette et les réalités financières qui l'entourent a rapidement déclenché des discussions enflammées sur les réseaux sociaux.
Son passage à l'émission a laissé plusieurs téléspectateurs perplexes, certains remettant en question la crédibilité de son discours face à ces révélations troublantes.
Pour lire l'excellent article du journaliste Francis Pilon vous n'avez qu'à cliquer sur le lien suivant: Journal de MTL | Francis Pilon - Julien Bournival-Vaugeois frôle la faillite: l'influenceur masculiniste croule sous des dettes de 1,4 M$