Cette décision entraînera la perte d'emploi pour 11 personnes.
Fabrice Giguère, porte-parole de la SQDC, a qualifié cette fermeture de « décision d'affaires », tout en assurant que la situation générale de la SQDC est bonne.
Cependant, David Clément, président du syndicat représentant les employés de certaines succursales de la SQDC, interprète cette fermeture comme une forme de représailles suite à une grève qui a duré un an et demi.
Cette grève, menée par les employés syndiqués au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), visait à obtenir de meilleures conditions salariales, une demande à laquelle la direction s'était longtemps opposée.
David Clément suggère que, puisque la fermeture ne semble pas motivée par des raisons de rentabilité, d'affluence ou de manque de personnel, elle pourrait être vue comme une réaction de la SQDC aux pressions syndicales.
L'annonce de cette fermeture contraste avec l'enthousiasme initial pour l'ouverture de cette succursale, qui avait attiré de longues files d'attente d'amateurs de cannabis, soulignant l'importance de la boutique pour la communauté locale.
La fermeture est prévue pour le samedi 2 mars.
Source: MonFric
Crédit: Les Affaires
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