Grâce à l'acquisition par les magasins Hart, une grande partie des succursales seront maintenues, protégeant ainsi une majorité des emplois.
Cette transaction, réalisée à une vitesse fulgurante, pourrait bien transformer une situation critique en opportunité pour tous les acteurs impliqués, rapporte La Presse.
Parmi les 95 succursales de Stokes et Think Kitchen, 75 continueront à opérer, préservant environ 680 emplois sur 830. Une avancée qui dépasse largement les scénarios envisagés il y a quelques semaines, où des fermetures massives étaient prévues.
En effet, la chaîne était en proie à des difficultés financières importantes depuis plusieurs années, ayant déjà dû se placer sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies, comme l'explique La Presse.
Paul Nassar, propriétaire des magasins Hart, a su agir rapidement pour conclure cette acquisition évaluée à 15,3 millions de dollars, incluant les stocks et les dettes de Stokes.
Il se dit optimiste quant à l'avenir, espérant même sauver encore plus de succursales. Cette transaction fait partie d'une stratégie plus vaste de consolidation.
Avec cette acquisition, Hart renforce un réseau déjà diversifié comprenant Bentley, Korvette, et Maison en Gros, pour atteindre plus de 400 magasins à travers le pays, détaille La Presse.
Ce rachat représente plus qu'un simple sauvetage.
Il s'agit d'une opportunité pour Stokes de redéfinir son avenir sous une nouvelle bannière, tout en soutenant l'économie locale. Pour les employés et les clients fidèles, c'est une nouvelle page qui s'ouvre, pleine de promesses, souligne La Presse.
En résumé, cette acquisition par Hart n'est pas seulement une victoire économique, mais une véritable renaissance pour Stokes et ses équipes, assurant leur place dans le paysage commercial canadien.