Bien qu'il soit très content de son véhicule dans l'ensemble, il a été confronté à un problème majeur : la réduction significative de l'autonomie par temps froid.
Primeau raconte son expérience lors d'un voyage entre Montréal et Québec, un trajet d'environ 300 kilomètres.
Lors de ce trajet, il partait avec une autonomie affichée de 450 kilomètres. Cependant, après avoir roulé à 110 km/h sur l'autoroute par une température extérieure de -20°C, il a dû faire une pause à Donnacona pour recharger sa batterie, malgré l'autonomie initiale.
Ce témoignage met en évidence un point important pour les acheteurs potentiels de véhicules électriques : l'autonomie en hiver peut être largement diminuée, notamment lorsque les conditions de conduite sont difficiles.
L'utilisation des sièges chauffants, l'air conditionné et la vitesse de conduite jouent un rôle crucial dans la réduction de la performance de la batterie.
Primeau avertit donc les futurs conducteurs de véhicules électriques qu'en hiver, l'autonomie peut facilement être réduite de moitié.
Ce phénomène est particulièrement notable lors de longs trajets sur autoroute par temps froid, une situation qu'il juge incontournable pour ceux qui envisagent l'achat de ce type de véhicule.
Dans l'ensemble, ce retour d'expérience met en lumière un défi important pour les véhicules électriques.
Si la voiture électrique semble être une excellente solution en ville, pour des trajets longs en hiver, des ajustements et des attentes réalistes doivent être mis en place avant de prendre la route.