Les premiers trajets ne seront possibles qu'en 2033, trois ans plus tard que prévu. Ce projet, évalué maintenant à 7,6 milliards de dollars, représente un défi colossal pour la Ville de Québec et le gouvernement.
Selon TVA Nouvelles, la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, a annoncé que deux ententes cruciales avaient été signées, l'une avec CDPQi et l'autre avec la Ville de Québec.
Cependant, cette étape reste liée à la phase de planification, avec une réalisation encore lointaine.
Cette augmentation des coûts, initialement fixés à 5,27 milliards de dollars en juin dernier, inclut désormais l'inflation et des dépenses connexes, rendant le projet encore plus ambitieux sur le plan financier.
De son côté, le maire Bruno Marchand s'est montré optimiste malgré les délais. Il a salué le travail amorcé par son prédécesseur, Régis Labeaume, tout en qualifiant ce tramway de « mini-Baie-James », un projet de grande envergure pour Québec.
Marchand promet également que la contribution financière de la Ville respectera la capacité de payer des citoyens, un détail qui sera clarifié sous peu.
Pour la Ville et la province, ce tramway représente un tournant majeur dans le transport collectif.
Comme le rapporte TVA Nouvelles, les retards ne sont pas rares pour des projets de cette ampleur, mais le gouvernement assure que cette révision permet d'optimiser la réalisation de cette infrastructure historique.
En attendant 2033, les citoyens devront faire preuve de patience pour profiter de ce nouveau moyen de transport, qui pourrait transformer la mobilité urbaine à Québec, rapporte TVA Nouvelles.
À suivre...